jeudi 28 août 2025

Certains miels agiraient comme neuroprotecteurs dans la maladie d’Alzheimer

Le miel, un vrai trésor aux bienfaits méconnus (DR).

Un groupe de chercheur international - englobant des chercheurs Espagnols et Italiens - s’intéresse à la valeur neuroprotectrice du miel pour ses pistes de recherches dans la création d’un traitement pertinent contre la maladie d’Alzheimer. Un résumé de leur recherche a été publié en août dernier…



La maladie d’Alzheimer est à ce jour un enjeu majeur de santé publique en ce sens que cette maladie est aujourd’hui la forme la plus connue de déclin cognitif progressif qui fini par entrainer à terme une neurodégénérescence du cerveau humain. A ce jour, cette maladie reste non curable et les traitements développés n’offrent qu’un seul soulagement symptomatique qui reste limité sans freiner la progression de la maladie qui finie par être mortelle.



De nombreuses pistes sont l’objet de recherches, mais c’est vers un ingrédient très inhabituel dans notre vie quotidienne que s’est focalisée une équipe de chercheurs hispano-italiens qui a publié ses résultats dans la revue Nutrients en août dernier : le miel, cette ubstance naturelle complexe riche en composés bioactifs. Celui-ci apparaît comme un produit pour le moins prometteur grâce à ses propriétés, notamment, antioxydantes et anti-inflammatoires. 


Ces chercheurs résument leur travail en expliquant que les mécanismes moléculaires sous-jacents aux effets neuroprotecteurs du miel dans le contexte de la maladie d’Alzheimer, en s’intéressant particulièrement à sa capacité à moduler certains paramètres de la maladie comme le stress oxydatif, le dysfonctionnement mitochondrial, mais aussi l’inflammation provoqués par la dégénérescence.


La piste de certains miels


Fait surprenant constaté par l’équipe de chercheurs : l’origine botanique du miel aurait une influence dans sa composition et donc, sur son activité biologique. L'équipe a ainsi peut mettre en
mis en avant les miels nés sur des plantations d'avocat, de manuka (un arbre de Nouvelle-Zélande), d'acacia, de kelulut (miel en provenance de Malaisie), de châtaignier, de café ou de tualang (miel des arbres de Malaisie, également, et de Sumatra), par exemple. Les résultats précliniques sont pour le moins encourageants, mais la validation clinique fait encore défaut à ce jour. Il est donc encore impossible d’acter la pertinence thérapeutique du miel dans la maladie d'Alzheimer. A suivre, donc…


Exposé sommaire des pistes de la recherche dans la revue Nutrients

vendredi 9 août 2024

Ces produits qui font significativement baisser votre cholestérol

© DR.

Ils auraient la capacité de réduire significativement votre taux de cholestérol. Eux, ce sont les trois produits énoncés plus bas ci-dessous à consommer sans trop de modération pour faire chuter votre cholestérol, on vous explique.


Trois aliments seraient à intégrer dans vos

listes de courses pour prendre soin de votre santé cardiaque et intestinale, selon un médecin anglais. Un certain docteur Megan Rossi du King’s College de Londres, connue sur les réseaux sociaux, recommande de consommer régulièrement ces trois substances ci-dessous. Et ceci, afin de contribuer à faire baisser votre cholestérol dans votre corps, et ceci si vous avez déjà des soucis, ou de façon purement préventive.


Les haricots


Des légumes, pour commencer : les haricots, riches en fibres et en protéines végétales, ils  seraient particulièrement recommandés  pour

réduire le cholestérol. Et le médecin Rossi d’expliquer que les fibres solubles se lient au cholestérol dans le tube digestif et aident à éliminer pour partie votre problème. Il évoque une  consommation quotidienne de 130 g à 150 g de haricots capables de réduire le mauvais cholestérol (LDL) de 5 à 10 % en moyenne ! Et de recommander d’intégrer régulièrement des haricots dans son alimentation, sous forme de

salades de légumineuses, de soupes de haricots et lentilles ou de plats mijotés… Autant de pistes qui pourraient  contribuer à améliorer grandement votre microbiote intestinal.


L’avoine


Une céréale, maintenant, l’avoine. Selon le docteur Rossi, celle-ci aurait largement sa

place dans nos menus. Et serait par ailleurs souvent recommandée pour réduire le mauvais

cholestérol. Une explication relativement simple pour expliquer sa présence dans cette article : cette avoine serait riche en bêta-glucanes, des fibres particulièrement solubles et qui auraient la propriété de se lier au cholestérol dans votre intestin et ces afin d’empêcher son absorption par votre organisme.


Le kiwi


Le kiwi, enfin, déjà très largement recommandé pour ses richesses en vitamine C, bien sûr.

Mais ce n’est pas le seule de ses atouts : il est aussi un véritable régulateur du transit, souvent recommandé en fin de repas le soir, avec une forte teneur en fibres. Un kiwi moyen apporterait de 2 à 3 g de fibres, celles-ci ralentiraient également l’absorption du

cholestérol. On recommande d’en consommer plusieurs par jour, de trois à quatre, idéalement pendant la saison (l’été en France, pour ne pas les faire venir du bout du monde).

mardi 16 avril 2024

La liste des fruits et légumes les plus traités… et les autres, pour 2024

© DR.

On ne dira jamais assez que les fruits et légumes - avec toute leur richesses en antioxydants nos, cibles et autres vitamines - sont excellents pour notre corps, et donc, pour notre santé. Mais ils sont aussi et de plus en plus traités avec des produits qui - eux - ne le sont pas du tout ! Cet article afin de faire le point en ce début d’année des fruits et légumes fréquentables ou non !


Notre source ? L'Environmental Working Group (EWG) - un groupe indépendant américain, basé à Washington - qui publie tous les ans la liste des fruits et légumes les plus pollués par les producteurs, quels qu’ils soient.

Leurs données sont basées sur des tests réalisés par le Département de

l'Agriculture des États-Unis (USDA) et de la FDA, la Food and Drug

Administration, équivalent de la Haute autorité de santé (HAS) en France.

Dans son rapport accessible sur son site (voir en bas de page), l'EWG rappelle que les pesticides sont toujours présents (malgré tous les efforts produits pour laver nos aliments) après lavage des fruits et légumes que nous voulons consommer. Pire ! Ces traitements peuvent être sources de problèmes de santé pour nous tous, quelque soit notre âge.


Les fruits et les légumes les plus traités :

Voici donc leur classement de ce que l’organisme appelle ses "12 sales" - sa dite douze - pour l'année 2024 :

  • les fraises,
  • les épinards,
  • les choux frisés, choux verts et feuilles de moutardes,
  • les nectarines,
  • les pommes,
  • le raisin,
  • les poivrons et le piment,
  • les cerises,
  • les pêches,
  • les poires,
  • le céleri,
  • les tomates.
Mais voici aussi la liste des fruits et légumes les moins traités, les "Clean fifteen", les quinze proposes de la liste de l'EWG :
  • l’avocat,
  • le maïs doux,
  • les oignons,
  • la papaye,
  • les petits pois (surgelés),
  • les asperges,
  • les melons honeydew (ou miel),
  • les kiwis,
  • les choux,
  • les champignons,
  • les melons Cantaloup,
  • les mangues,
  • les pastèques,
  • Et enfin, les patates douces.

vendredi 15 mars 2024

Ces fruits à éviter au petit déjeuner


L'ananas, à éviter au petit déjeuner, malgré ses vertus

Le sucre n’est pas franchement le produit le plus recommandable pour la santé et encore moins le matin, lors de votre prise de petit déjeuner. C’est pour cela
 que certains fruits que nous croisons lors de ce moment sont à éviter, voire à proscrire. Ils sont ci-dessous au nombre de quatre !


Les messages des spécialistes nous faisant privilégier le petit-déjeuner comme étant un des moments les plus importants de notre alimentation quotidienne sont plus rares. Loin, cette époque où ce moment était LE moment à ne pas raté pour une bonne journée, sans fringale avant midi, sans lourdeur au ventre… Bref, il était source d'une grande, très grande, partie de nos apports journaliers.


● La banane : on lui trouve trop de sucre quand elle est mangée mûre. Verte, on ne la trouve pas assez digeste, au risque de vous provoquer des inconforts pendant la matinée.


● Le raisin : celui-ci a aussi une réputation sulfureuse au petit déjeuner, accusé d'être aussi trop sucré et de déséquilibré notre glycémie à l'image de la banane. 


● L’ananas : ce fruit a aussi le souci de n'être que peu accessible pour sa préparation du matin. On le trouve parfois évidé et libéré de sa peau pour une consommation plus facile, mais il est li aussi victime de 


La mangue : qui en plus du sucre qu’elle contient partie des FODMAP,

aliments fermentescibles souvent difficiles à digérer


Évitez aussi les jus de fruits


Au-delà du fruits concerné, c’est la façon de le consommer qui compte : le problème des jus, c'est qu'ils auront la fâcheuse tendance à priver les fruits de leur principaux atouts que sont les fibres, à côté de leur apports éventuels en vitamines… Dommage !

Hélas, si vous jetez votre dévolu sur un jus acheté dans le commerce, le sucre et autres additifs vont sans doute vous repousser : autant boire une cannette de soda, nous n'exagérons qu'à peine, certaines bouteilles affichent sans complexe des teneurs à 10% de sucre


Si vous voulez vous rabattre sur les smoothies, leur fibre ont été pour leur plus grande part cassées par la préparation. On pourrait croire que les smoothies sont bons, mais en réalité, les fibres sont tout bonnement cassées par ce type de préparation.


Les fruits à consommer le matin


Maintenant, si vous tenez tout de même à consommer un smoothie pour votre pétit déjeuner du matin, rien ne vous empêche d'y ajoutez des graines de chia, qui y apporteront non seulement des fibres mais aussi des protéines.


D’autres fruits sont - quant à eux- particulièrement recommandés le matin. C’est le cas des fruits

rouges et du kiwi, selon la saison, bien sûr !

mercredi 9 août 2023

Des preuves que vous mangez trop salé

Le sel, que l'on consomme facilement en excès dans notre alimentation (DR)


Le sel est un des minéraux importants qui composent notre corps. Pourtant, à trop forte dose, il est préjudiciable pour celui-ci. On fait ici le point sur les signes qui ont tendance à montrer que votre alimentation est trop riche en sel et que vous devriez faire attention à cette consommation de sel.

Vous avez une pression artérielle élevée

C’est sans nul doute le plus connu des maux qui se manifestent avec une alimentation trop riche en sodium : une pression artérielle trop forte. L’excès de sodium représente un réel facteur de risque d’hypertension artérielle, c’est à dure que votre coeur fonctionne trop fort. Si votre médecin prend votre tension à chacun de vos rendez-vous, sachez que l’on considère la tension artérielle trop importante quand elle propose des valeurs égales ou supérieures  140/90 mmHg (diastole/systole).

Vous souffrez de maux de tête

Corolaire de cette hypertension artérielle évoquée plus haut : des maux de tête qui sont un des symptômes de cette pression artérielle. Si tel est le cas, consultez votre médecin traitant qui peut facilement vous proposer une observation afin de savoir si vous souffrez de cette hypertension, et s’il vous faut envisager un traitement pour la soigner. C’est important.

Vous avez souvent soif

Quand le sel est trop présent dans notre alimentation, vos fluides corporels se s-retrouvent déséquilibrés. Le corps va alors signaler qu’il a besoin d’eau et pour se faire, va exprimer le besoin de boire plus d’eau. Boire plus, c’est aussi s’exposer à une fréquentation plus importante de vos espaces sanitaires.
Boire en quantité permet d'éliminer l'excès de sel et de rétablir l'équilibre électrolytique. Une hydratation équilibrée est donc essentielle au maintien d'un taux de sodium optimal et donc à votre bien-être général.

 Vous souffrez de ballonnements

Les personnes qui ont un régime riche en sodium ont jusqu’à 1/3 de plus de risques d’avoir des ballonnements, comparé à d’autres individus qui en consomment moins. L’excès de sodium favorise la rétention d’eau, ce qui va engendrer des ballonnements du ventre mais pas seulement !

Votre corps gonfle

En effet, il n’y a pas que le ventre qui risque de prendre un peu de volume, mais aussi d’autres partis de votre corps comme les mains ou le visage, comme provoquer des poches sous les yeux.






jeudi 6 avril 2023

Sept aliments qui réduisent votre espérance de vie

La pizza n'est pas vraiment un de nos alliés "santé"


On le sait, tous les aliments ne se valent pas ! Mieux. Certains prennet un malin plaisir à écourter le temps que nous avons chacun à passer sur la Terre. Voici ci-dessous la liste de nos trop chers ennemis !

Des chercheurs américains de l'Université du Michigan ont calculé combien de temps certains aliments (plus de 5000 tout de même!) - consommés lors de notre vie quotidienne - nous enlevaient comme instants de vie. Pour cela, ils ont eu l'approche suivante : celle d'évaluer le cycle de vie de chacun de ces aliments : leur production, leur transformation, leur fabrication, leur préparation et enfin leur consommation.
Voici quelques uns de leurs résultats. Le temps que certains d'entre eux soustraient à notre espérance de vie fait parfois froid dans le dos :

1. La viande transformée
Elle a bien mauvaise réputation, favorisant le surpoids, mais aussi le cholestérol ainsi que la plupart des maladies cardiovasculaires. Pourquoi ? Parce qu'elle est bien trop riche en sodium (en sel) et en acides gras saturés.

2. Les hot-dogs
Ces bons vieux "chiens chauds"  - vites avalés en bas des immeubles américains que l'on croise dans toutes les sériés US - nous feraient perdre… - incroyable - 36,3 minutes de vie.

3. Les sodas
Les sodas, on le savait déjà, ne sont pas très bons pour notre santé. Cette étude le confirme sans surprise : tous sont aussi à éviter. Ils nous feraient perdre presque un quart d'heure, avec pas moins de 12,4 minutes de vie.

4. Les burgers au fromage
Si bons soient-ils, ces burgers raccourcissent notre vie de tout de même 8,8 minutes.

5. Les pizzas
Il faut se méfier des apparences, qui sont trompeuses pour cet aliment. En réalité, à y regarder de plus près, chaque pizza raccourcirait l’espérance de vie humaine de … 7,8 minutes !

6. Le bacon
S’il accompagne idéalement vos oeufs, le bacon fait pourtant perdre 6,4 minutes de vie
saine.

7. Le cheddar
Quant ç-o ce fromage, il réduirait notre espérance de vie de quelque 1,4 minute.

Bien sûr, aussi sûrement que certains aliments sont néfastes pour notre santé, d’autres augmentent notre capital de vie !

Les noix : en cas de petite faim, avalez une poignée de noix. Ce simple geste nous fait gagner 25 minutes de vie.

La tomate : celle-ci fait gagner 3,8 minutes de vie

L’avocat : celui-ci augmenterait le temps de vie de 2,8 minutes de vie

Le saumon cuit mais aussi la banane : ces deux aliments nous font tous deux gagner 13
minutes de vie

Le sandwich au beurre de cacahuètes et à la confiture : il  nous ferait gagner pas moins de… 33
minutes de vie !

jeudi 15 septembre 2022

Edulcorants : un virage à 180 ° !??

Et si nous ingurgitions aujourd’hui nos poisons de demain ? C’est un peu le sentiment qui nous taraude aujourd’hui, alors que les médias se sont faits, ces derniers jours, l’écho d’une nouvelle qui revient sur un sujet tranché à l’époque, voilà presque 10 ans ! Les édulcorants, toxiques ou pas pour notre santé ?

© DR.

Les médias de toutes natures nous ont bien gentiment relayés l’information : une grande étude diligentée sous le nom de NutriNet-Santé(*) a été menée auprès de… plus de 103 000 volontaires en France. Cette étude a pour but d’étudier l’impact de tous les additifs alimentaires sur notre santé. Parmi ces produits, la présence des édulcorants, largement utilisés dans tous les aliments dits « allégés » en général et les produits laitiers – comme les yaourts, par exemple – en particulier.

Rappel d’une frénésie du « light »

Les édulcorants sont entrés dans notre alimentation voilà quelques poignées de décennies quand les industriels ont voulu nous vendre des produits que l’on disait alors moins caloriques, moins énergétiques : Coca-Cola light, crème fraîche allégée, repas préparés conditionnés en barquette annonçant des chiffres d’AJR (**) réduits !

Nombreuses et nombreux sont celles et ceux qui se sont jetés sur ces produits que ces mêmes producteurs industriels nous annonçent encore aujourd’hui comme « moins pire » que leurs originaux ! Aujourd’hui, si vous pouvez savoir si vous consommez des édulcorants, vous pouvez le savoir en repérant sur l’étiquette du produit la liste des ingrédients commençant par la mettre « E ». Par exemple :

·       le sorbitol (E 420),

·       le mannitol (E 421),

·       le xylitol (E 967).

·       l’aspartame (E 951),

·       la saccharine (E 954),

·       les cyclamates (E 952).

(attention : certains sont d’origine chimique, d’autres d’origine naturelle !)

Que découvre-t-on aujourd’hui ?

Les chercheurs de cette enquête ont établi un lien entre la consommation d’édulcorants et le risque de maladies cardiovasculaires : infarctus, AVC ou hypertension. Mieux. Le lien entre risque accru de cancer et l’aspartame s’en trouve conforté : « Cette étude prospective à grande échelle – NutriNet-Santé, NDLR - suggère, en accord avec plusieurs études expérimentales in vivo et in vitro, que les édulcorants artificiels, utilisés dans de nombreux aliments et boissons en France et dans le monde, pourraient représenter un facteur de risque accru de cancer » (extrait du site de l’Inserm, article paru le 24 mars 2022 sur les édulcorants).

Vers une suppression des produits « allégés » ?

Tout est une question d’équilibre. Car, si consommer de temps en temps des édulcorants ne semble pas dangereux pour la santé, revenir aux sucres « classiques » de type saccarose ne semble pas une bonne idée non plus : les recommandations des instances sanitaires, comme l’OMS par exemple, c’est d’essayer de limiter le goût sucré dans notre alimentation, donc tout à la fois le sucre et l’aspartame.

Quand on sait à quel point nos cerveau en sont friand depuis notre tendre enfance, ce n’est pas gagné.

 

1 - (*) - L’étude NutriNet-Santé est une étude de santé publique coordonnée par l’Équipe de Recherche en Épidémiologie Nutritionnelle (EREN, Inserm / INRAE / Cnam / Université Sorbonne Paris Nord), qui, grâce à l’engagement et à la fidélité de plus de 170 000 « Nutrinautes » fait avancer la recherche sur les liens entre la nutrition (alimentation, activité physique, état nutritionnel) et la santé.

Lancée en 2009, l’étude a déjà donné lieu à plus de 200 publications scientifiques internationales.

2 - (**) - AJR : les Apports Journaliers Recommandés, dont les mentions figurent sur les emballages de nos produits.