Suite
à la publication du professeur Séralini de l’université de Caen sur la nocivité
des maïs OGM, et en l’absence d’un réponse avisée des autorités publiques
sanitaires, les travaux font l’objet d’une première critique, émanant des
offensés…
Quelques
jours après la publication des résultats des travaux des chercheurs de l’équipe
du professeur Séralini, les réponses d’organismes comme l’Institut national de
la Recherche agronomique (INRA) ou l’Agence nationale de sécurité alimentaire
(Anses) tardent encore à venir… Un certain Gérard Pascal, ancien toxicologue
spécialiste des OGM à l'Institut national de la recherche agronomique (INRA),
aujourd'hui consultant pour des entreprises agroalimentaires (?) est le premier
à donner son avis, qu’il exprime dans les pages du quotidien Le Monde… En
attendant des commentaires plus impartiaux !
Lors
de cette longue interview, ce monsieur Pascal parle de « travail (…) nul
et non avenu. Il n’est pas question de prendre en compte ses résultats »
Les
raisons d’une telle véhémence ? Selon lui :
• L’espèce
de rats soumis à l’expérimentation aurait été trop sensible.
•
Le nombre d’animaux appelés à être soumis à l’étude serait trop faible pour
être vraiment signifiant.
•
L’étude normande ne délivre pas d’information sur le régime alimentaire
Un
bémol toutefois que l’interviewé a du mal à comprendre : l’étude
universitaire a été publiée dans une revue de référence : Food and
Chemical Toxicology.
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