Bruxelles a reporté à une date indéterminée sa décision laissant au Nouveau Monde la possibilité d'utilisation de la dénomination « château » sur les bouteilles de vin.
Levée
unanime de boucliers dans le Sud-Ouest à la lecture d’un projet de
Bruxelles : la Commission pourrait laisser aux autres pays producteurs le droit de
pouvoir utiliser le terme de « château » (en français dans le texte) sur les étiquettes des vins destinés à l’exportation vers nos contrées, et ce pour faire suite à une demande formulée par Etats-Unis en 2010…
Disons plutôt, que le grand frère US demande une nouvelle fois son usage : en effet, il y a un précédent, datant de 2006. A l’époque, un accord laissait déjà les Américains – un de nos plus gros clients en terme de volume de vins exportés – utiliser ce terme jusqu’en 2009.
Disons plutôt, que le grand frère US demande une nouvelle fois son usage : en effet, il y a un précédent, datant de 2006. A l’époque, un accord laissait déjà les Américains – un de nos plus gros clients en terme de volume de vins exportés – utiliser ce terme jusqu’en 2009.
Dans
le Bordelais, on parle déjà « de tromperie pour le consommateur », ou
encore de détournement de notoriété »… au moment où Bruxelles remet à plus tard sa décision.
Mais attention ! A trop crier, il faut avoir les cordes vocales solides pour tenir sur la longueur et ceux qui poussent des cris d'orfraie seraient bien inspirés de reconsidérer leurs pratiques avant de hurler au scandale.
A suivre...
A lire, l'excellent article signé Périco Légasse dans Marianne
Mais attention ! A trop crier, il faut avoir les cordes vocales solides pour tenir sur la longueur et ceux qui poussent des cris d'orfraie seraient bien inspirés de reconsidérer leurs pratiques avant de hurler au scandale.
A suivre...
A lire, l'excellent article signé Périco Légasse dans Marianne
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